Antiquaire, ce spécialiste de la culture et du commerce

L’antiquaire est un véritable passionné d’art qui achète, remet en état et revend des objets anciens. Souvent spécialisé dans une époque particulière ou un domaine spécifique, il ne commercialise que des objets d’exception que ce soit des meubles, des tableaux, des objets de décoration… L’exercice de ce métier nécessite de fortes capacités en commerce et en histoire de l’art.

Les missions d’un antiquaire

La principale tâche d’un antiquaire est la recherche d’objets anciens de valeur. Pour cela, il est amené à faire des déplacements réguliers afin de dénicher des objets intéressants qui se rapportent à une époque ou un domaine bien défini. Cette personne ne manque pas les salons, les ventes réservées, les vide-greniers, ni les marchés aux puces. Aussi, elle peut faire du porte-à-porte auprès des particuliers en possession d’objets anciens. Grâce à ses connaissances en histoire de l’art, mais surtout son expérience, l’antiquaire identifie très aisément les sujets authentiques.

L’environnement de travail d’un antiquaire

En tant que commerçant, l’antiquaire travaille généralement dans un magasin. Il lui arrive également d’exposer en extérieur lors de différentes manifestations commerciales. Pour cela, il aménage un stand à chaque participation. Il est équipé du matériel adéquat comme une grille d’exposition pliable, une table pour accueillir les visiteurs, des chaises, une caisse portable etc. Tout cet équipement peut être trouvé chez des fournisseurs en ligne comme https://grille-exposition.fr.
Il peut également disposer d’un atelier où il travaille les objets qu’il a acquis dernièrement. La profession d’antiquaire est le plus souvent familiale. Les fonds de commerce et le savoir-faire se transmettent, en fait, de père en fils. Le nom de famille d’un antiquaire garantit souvent la qualité et l’authenticité des objets commercialisés. Ainsi, un antiquaire confirmé peut effectuer des métiers d’expertise.

Quelles études, quelle formation pour devenir antiquaire ?

La concurrence dans le domaine reste aujourd’hui encore très rude. Il s’agit d’un secteur fermé qui nécessite des connaissances pointues pour émerger du lot. Toutefois, grâce aux différents sites web, le marché s’ouvre à l’international. Les études en histoire sont fortement conseillées pour ceux qui prévoient un avenir dans ce milieu. Il existe des cursus universitaires en sciences humaines/sciences sociales spécialité commerce de l’art et des antiquités. EAC propose un titre de négociateur en objets d’art et de décoration. À l’IESA, ce sera plutôt une option métiers du marché de l’art. Cependant, n’oubliez pas qu’on ne devient antiquaire chevronné que par expérience !

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